Un autre conte d’Andersen pour vos oreilles aujourd’hui, enregistré il y a quelque temps déjà. Ce n’était pas la version que je connaissais, celle que nous avions trouvée parmi les ouvrages d’un chalet vosgien et lu alors que la neige s’étirait au-dehors. Celle-ci est néanmoins tout aussi imagée, et vous y croiserez une flopée d’adolescentes dotées de queues de poisson, un sérieux manque d’âmes immortelles, une grand-mère aux vues très étroites, une sorcière fidèle à son image et un jeune prince pour le moins obtus.
L’elfe de la rose vous semblait prodiguer des conseils de jardinage peu recommandables? Ici, des fleurs sans parfum croissent tout naturellement sur le plancher océanique, épaulées par des arbres aux couleurs et mouvements atténués, et les poissons naviguent d’une branche à l’autre selon les caprices des ondes.
Vous trouverez l’enregistrement en trois parties ci-dessous:
Source: Contes d’Andersen, Traduction par David Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.
Commentaires récents